Lucile Boiron, Womb, 2019

©Lucile Boiron, Womb

Lucile Boiron, photographier les effluves organiques

« Womb » : métaphores de l’intérieur

Lucie Boiron, Descorps, Womb 2020
©Lucile Boiron, Womb, 2019

Lucie Boiron, Des corps
©Lucile Boiron, Des corps, série « Journal »

Lucie Boiron, Womb, 2020
©Lucile Boiron, Womb, 2019

Lucie Boiron artiste, Womb Descorps
©Lucile Boiron, Womb, 2019


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C’est notre quotidien avec lequel l’on vit tous les jours, et qui pourtant nous reste invisible. On ne veut pas le voir, que les gens vieillissent et que les corps se déforment. Que les rides se creusent, et les cheveux grisonnent. Tout en détournement des chairs, et en mise en lumière des aspérités du temps, les photographies de la jeune artiste Lucile Boiron semblent plus crues que vraies. Cela résonne d’autant plus pour sa série « Womb », parue en livre en 2019, aux éditions Libraryman, et pour laquelle elle a reçu un prix.

Emma

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